50 nuances de Claire. EP1 Le feu dans ma chair
Le feu dans ma chair
Tout a commencé lorsque j’ai trouvé comment allumer la véritable flamme du désir.
Faire tomber ses barrières, et la prudence que l’on peut prendre lorsqu’on entame de nouveau une relation amoureuse, sur la retenue pour ne pas brusquer ni choquer l’autre.
Apres de longues années de célibat, Nicolas avait tout ce que j’aurai pu aimer chez un homme. Il respectait mon indépendance ce qui, à mon sens, était déjà une grande qualité. Il était attentionné, drôle, pour l’égalité, et plutôt mignon ce qui ne gâchait rien.
Bref l’homme, la quarantaine, bien sous tout rapport.
Cela faisait presque un an que nous étions ensemble, et quelques mois que cela était officiel. Les familles avaient été rencontrées, les appartements vidés et nous vivions ensemble désormais dans un endroit qui nous ressemblait.
Tout semblait briller sous le soleil de l’amour tendre, mais… Puis qu’il en faut bien un, sans quoi cette histoire n’aurait aucun sens, mais, donc, avouons le, je me faisais royalement chier au lit.
C’était bien mignon, mais impossible de lui faire comprendre, que si j’aimais ronronner sur son épaule, il y avait une lionne en moi qui voulait rugir de plaisir… Jamais il ne franchissait les limites du raisonnable…ni une main dans les cheveux passée avec délicatesse ne se rendait plus dure… ou une caresse sur les fesses plus piquante. J’avais du plaisir oui mais pas la fougue, la passion, le feu dans la chair, que j’aurais tant désiré.
Et le pire dans tout cela c’est que je le sentais sur la réserve, impossible de percer le secret de son incroyable romantisme, que j’aimais tant par ailleurs, mais que j’aurai voulu voir voler en éclats à la nuit tombée. Parfois j’observais son regard pendant qu’on faisait l’amour et je le voyais un millième de seconde en absence, se reprendre et revenir à moi. C’est cet instant bref, imperceptible pour la plupart d’entre nous, qui me faisait penser qu’il cachait en lui ce débauché que j’espérais tant.
Je voulais croire en nous, je devais en avoir le cœur net.
Je passais donc la journée à élaborer un plan. Des multiples scénarios coquins que j’avais pu tester par le passé, aucun ne m’excitait plus que les jeux cérébraux et physiques qu’offraient les relations D/s. Ne sachant pas encore quelle position adopter avec Nicolas, moi qui passe aisément de l’une à l’autre je choisissais celle qui me semblait la plus simple à aborder, et celle qui lui permettrait sans doute d’entrer dans le jeu avec plus d’aisance.
Ce soir, au bout du long couloir qui desservait les chambres de l’étage, je disposerai un chemin de bougies blanches de tailles différentes , à l’entrée du couloir une lettre et dans la lettre un petit mot. Au bout de ce couloir et dans la lumière des candélabres je me tiendrai à genoux , lui tournant le dos, entièrement nue, les cheveux ramenés sur mon épaule, dévoilant ma nuque et mes vices.
L’objectif de la soirée me mit en joie pour tout l’après midi, je passais le reste de la journée à faire des achats, quelques mètres de velours rouge pour parer le sol du couloir, dévaliser les bougies d’une église en mentant à Sœur Marie Prudence en prétextant la veillée d’un proche en fin de vie, m’ennuyer copieusement dans les magasins de lingerie ou trouver une tenue de soumise digne de ce nom qui ne se rompe pas au moindre essai est devenu le parcours du combattant… Se rabattre sur le rayon animaux pour acheter un collier, retrouver mes réflexes, l’essayer à mon cou sans prendre gare aux regards alentours… et puis monter au grenier pour retrouver mon carton secret , le fameux « Souvenirs d’avant de Claire ».
Nicolas n’était pas le premier ni le second d’ailleurs. J’ai eu, il faut bien le dire , un passé plus que sulfureux. J’étais libertine, ce qu’il ignorait, et l’année d’abstinence de relation à plusieurs commençait à peser sur mon désir.
La libido n’est pas que le souffle sexuel n’est ce pas, manquer de libido, c’est manquer du désir de vie, de cette pulsion qui nous pousse en avant, vers l’autre, vers l’avenir.
Refusant donc de mourir un petit peu, et parce que l’aimais d’une puissance rare, je voulais me réveiller. Telle L’Aurore de mes contes d’antan, une Aurore Kinky, version 2.0.
Après avoir ôté du dessus du carton les quelques dissertations et dessins souvenirs d’écoles mélangés, je tombe sur la boite. Une veille boite en bois chinée en brocante, entièrement gravée a la main à l’image du Dieu Priape et de son énorme Mât.
Je souffle la poussière accumulée par dessus, et délicatement l’ouvre, découvrant avec un sourire nostalgique ces secrets, cette vie qui fût la mienne.
Beaucoup de lettres, celles du Maître tout d’abord, puis celles de mes dévots et dévotes comme j’aimais à les appeler… Au fond, comme on garderait sa première étoile du ski, mon premier rosebud si riquiqui, offert par A, à nos débuts.
Puis mon costume de Maitresse Sœur du Clair Obscur… qui fut mon déguisement de nuit pendant longtemps.
Je prends la boite avec moi. Et les souvenirs à la pelle que je vous raconterai peut-être plus tard.
Il est 21 h quand toute la scène est prête.
Les bougies allumées, la porte de notre chambre fermée à clef. Mon peignoir en satin déposé/jeté sur le canapé. Je sais qu’il ne va pas tarder. Et avec l’excitation d’une première fois, je reprends cette position d’offrande que j’ai si bien connue.
Je respire une fois, m’agenouille, respire place la clef au bout d’un cordon dans mon dos, respire attend.
Respire
Et déjà
Perle
Tout bas.
21h02 : Nicolas entre, fidèle à sa ponctualité légendaire. Il m’appelle d’en bas, je ne réponds pas, m’appelle de nouveau, s’inquiète, toujours pas de réponse, il monte en courant. Stop.
Je souris, je panique. Qu’est il en train de penser, est ce que ça lui plait, est ce qu’il va partir ? Je guette le moindre bruit. J’entends sa respiration se faire plus profonde, il prend la lettre, bruit de l’enveloppe qui s’ouvre, temps de la lecture.
Dans l’enveloppe il se trouve deux petites étiquettes, sur l’une il est écrit EAT ME, sur L’autre DRINK ME … et au dos THEN FUCK ME.
Je connaissais son amour pour Lewis Caroll j’espérais avoir fait mouche avec cette référence à Alice au pays des merveilles.
Il se rapproche de moi, je le sens à présent dans mon dos mais m’interdit de bouger, je sens sa main s’approcher de mon épaule puis se retirer avant même de s’y être posée. Je l’entends déglutir, saisir le cordon de la clef et l’arracher d’un coup sec.
Je frémis. Colère ? ou bien est ce un Oui ?
J’attends.
Aussi nue, aussi à genoux, aussi vulnérable que je puisse être à présent je me sens belle et forte, je sais exactement comment va se terminer la soirée, et bien que je sois en proie au doute, au fond de moi je suis sure et certaine d’obtenir ce soir ce que je cherche.
La nudité a un véritable pouvoir.
J’entends le bruit du papier qui se froisse entre les doigts dans la chambre… j’entends des petits ricanements, des déglutitions. Ainsi, il est en train de découvrir la boite à souvenirs.
Puis il sort, dépose quelque chose sur mes genoux et s’en va. Ce n’est qu’une fois seule que je découvre ce qu’il a laissé près de moi.
Le peignoir en satin, et une petite lettre
« En grandissant, se dit-elle, il serait devenu un enfant épouvantablement laid tandis qu’il fait un très joli cochon, je trouve » suivie d’une annotation de sa main : je n’ai pas envie de grandir…
Dans 15 minutes en bas. Peignoir et cheveux ramassés en queue de cheval. S’il te plait.
Et bim , c’est qui qui avait raison ? Qui est ce qui avait deviné l’issue de la soirée…
Un air de danse de la joie.
J’enfile le peignoir, attache mes cheveux dans une queue de cheval haute et bien serrée, en moins de 5 minutes je suis en bas. Il est en train de cuisiner.
- Hum ca sent bon mon cœur, tu as cuisiné épicé ?
- Je t’avais dit dans 15 minutes, non ? Est ce que cela fait 15 minutes ?
Mince me voilà piégée à mon propre jeu, c’est qu’il apprend vite le coquin,
- Pardon je suis désolée je, je peux remonter si tu veux .
- J’ai l’impression de mal comprendre, Tu veux bien reformuler ta phrase…
Non réellement, il y met du cœur, j’adore…
- Je peux remonter si vous voulez
- Je préfère. Mais non reste puisque tu es ici. Viens te mettre sur le plan de travail, je veux te voir.
Ok je crois que le jeu est définitivement lancé. Deux options s’offrent à moi. Soit le questionner et essayer de savoir si oui ou non il a déjà vécu cela, soit adopter la position de soumise et le laisser décider de tout…
Me voilà à présent dans la dichotomie dans laquelle j’étais à mes débuts, tentant à tout prix d’être la maîtresse de ma soumission. Est ce possible d’avoir à ce point oublié toutes les marches gravies, les expériences, les rencontres, LA rencontre. La vie n’est qu’un éternel recommencement, c’est bien ce que l’on dit. Cette fois ci je n’aurai pas la patience, éduquée certes, mais je supporterai assez mal le redoublement.
Et bien Claire, tu as lancé les dés, assume maintenant le tirage…
Et soumets toi au hasard.
Je m’assois à ses cotés sur le plan de travail, le peignoir négligemment entrouvert laisse apparaître ma poitrine traîtresse déjà dressée au désir.
J’observe son visage, et vois un sourire poindre au coin de sa bouche juste avant qu’il ne se racle la gorge et enfile son masque de maître.
La voilà, la toute petite part d’humanité, celle dont j’ai besoin pour véritablement me mettre à genou, et courber l’échine.
Sans me regarder Nicolas tapote le manche de la cuillère en bois sur ma cuisse… Instinctivement comme guidée par une inconscience concupiscente mes jambes s’écartent, mon buste bascule en arrière. Je ne suis qu’offrande ce soir. C’est mon rôle, ma mission.
- Nous ne dinerons que lorsque le plan de travail sera maculé de ton humidité Claire.
Claire ? dit il en s’approchant de mon oreille
Je savais que tu savais… Nous savions tous les deux. Ce que j’ai lu là haut… tu as bien plus d’expériences que moi. Je n’ai jamais plié le genou. Mais qu’importe pour ce soir. Ce n’est pas ce que tu es venue chercher non ?
- Non, bien sûr … mais …
- Claire, non qui ?
- Non Monsieur.
- Va pour Monsieur.
Toujours à mon oreille je sens ses lèvres s’emparer de mon lobe et commencer à m’embrasser. Voici le réveil de mes muscles horripilateurs… (vous savez ceux qui tendent le poil a la surface de la peau …) sa langue passe sur mon cou, caresse mes trapèzes, remonte a mon oreille. Il souffle d’un souffle chaud, qui m’envahit presque toute, il souffle en moi le poison du stupre, il infuse son venin couleur rouge. Rouge comme le désir profond et sans filtre qui me prend et se répand partout /Mon corps.
- Je vais te manger Claire/ Je vais te boire Claire/ et enfin je vais te Baiser … Claire.
Putain Nico dans quoi tu t’embarques mec, tu sais ou cela t’a emmené la dernière fois, tu connais tes limites, et tu avais décidé de ne plus jouer avec. Est ce qu’avec elle ce sera différent ? Pourrais-tu l’aimer et la dominer ? Te laisseras-tu aller de l’autre côté. Tu te rassures en te disant qu’elle est bien aussi tarée que toi, et qu’elle a fait des choses que tu n’osais même pas imaginer… Mais qu’est ce que tu fais, est ce que tu joues, est ce que tu renonces…
- Nicolas , Nicolas, Maître ? Monsieur ?
- Oui, Claire… Quoi , je ne peux plus réfléchir en paix ? Tu as oublié à ce point les rudiments de ta position. Lève toi… Bien, je découvre avec satisfaction que si ton esprit peine encore à retrouver ses bases, ton corps lui joue bien plus que toi le rôle, que, je te rappelle, TU lui as choisi.
Nicolas lape avec délectation la liqueur que j’ai déposé sur le plan de travail alors qu’il me mordillait l’oreille. Puis il y trempe son doigt, et le porte à mes lèvres…
- A notre santé Claire.
J’entrouvre la bouche et accueille son doigt plein de ma souillure, je suis déjà bien trop excitée et n’y tenant plus j’attrape son poignet et enfonce ses doigts plus profondément dans ma bouche, je le lèche, les yeux dans les yeux, ne lui laissant plus le choix.
Mange moi/ Bois moi/ et ensuite Baise moi.
Mais je suis bel et bien sa soumise ce soir et il ne l’entend pas de la sorte. Voilà que , de sa main encore libre, il me saisit le menton « Ne fais plus jamais ca » dit il avec un sourire. Puis il s’empare de ma bouche me dévore les lèvres la langue, jusqu’à presque m’étouffer .
- on va rester sur des classiques Claire, Orange pour me dire que c’est trop. Rouge pour Stop. Je ne te prive d’aucun sens je sens bien que tu détesterais, mais je te préviens, si tu t’avises de rebeller, non seulement je t’attache, mais je te laisse en plan jusqu’à demain matin. Tu as bien compris ?
- Oui Monsieur (baise moi, baise moi, baise moi s’il te plait j’en peux plus ).
- Hum, tu es sur le feu Claire non ?
- Oui Monsieur.
- Tu ne trouves pas qu’il manque quelque chose sur le mur près de la cheminée ? Un tableau ? Une plante ? Une femme nue ?
- La dernière option me semble intéressante …
- C’est également ce que je pense, dans ces cas là tu sais ce qu’il te reste a faire.
Alors j’obéis, je laisse tomber à mes pieds le peignoir et vais me placer face au mur les mains au dessus de la tête, tout fessier tendu vers lui et les jambes écartées.
- Je vois que tu as de bonnes bases Aurore… à ce moment tu es en train de te demander si tu as bien entendu ce que je viens de dire , oui Aurore, qu’est ce que tu crois ? il m’a suffit d’un message, d’un tout petit message, pour m’assurer de ton identité. Ta réputation n’était plus à faire dans le milieu. Et dire que je n’étais pas assez expérimenté pour pouvoir prétendre à te soumettre à l’époque…
Et te voilà tout droit dans ma main…
Tout vient à point à qui sait attendre.
Je fais bien vite abstraction de ce qu’il vient de me dire, de ces choses dont j’avais vaguement entendu parler, de ces sociétés secrètes où il faut gravir des échelons pour mériter les meilleures d’entre nous… Ce jeu auquel j’avais sans doute participé… Nous en discuterons plus tard.
Profite de l’instant Aurore/Claire.
AIE. PUTAIN
Et bien autant dire qu’il a une bonne poigne. Ouf Ca faisait longtemps que on ne m’avait pas si bien cuit…
- Tu sais toujours compter Claire ?
- Euh oui merci Nico jusqu’à preuve du contraire …
- J’ai du mal à croire que ton insolence soit pleinement inconsciente, aussi tu n’y verras je suppose aucun inconvénient si je double ta peine.
De trente secondes tu passes à la minute.
Et se faisant, telle une bête qui avait hiberné tout l’hiver il se jette sur moi et mord à pleines dents dans mes fesses, je tente d’esquiver ses attaques tant la morsure est vive, mais la douleur et l’excitation se mêlent bientôt, et il me maintient si fermement que je ne peux m’échapper… en ai je seulement envie…
EAT ME… la première étape, tout mon corps en entier passe sous ses dents, ma poitrine sera rouge demain, sans nulle doute, je serai toute rougie demain, et que dire de mon sexe, mes jambes sont trempées du désir qu’il provoque en moi, je voudrais qu’il me possède maintenant et toute la nuit, et toute la vie.
Je suis droguée au plaisir.
J’en veux plus.
La voilà la divine morsure, lorsque ses dents attrapent mon clitoris j’ai envie de saisir sa tête à pleines mains et de coller sa bouche sur mon sexe jusqu’à presque l’empêcher de respirer… mais cela je ne peux le faire, j’ai promis ce soir je me soumets…
Alors je le laisse me dévorer, me laper , me gouter, me déguster.
Ses mains soulèvent mes fesses jusqu’à presque amener mon corps à son visage, je suis son graal… bientôt il boira à ma coupe.
Il me transporte dans ses bras jusqu’à la table sur laquelle il m’écrase la poitrine, mes tétons durcissent au contact du froid du verre. Il me tient également le dos, et de son autre main entreprend de me doigter avec vigueur…
- Je veux te boire Caire/Aurore, peux tu me donner ce que je désire…
- oui Maître.
J’étais réputée pour être une fontaine exemplaire et mémorable, espérons ne pas avoir perdu cette capacité. Lui visiblement sait où appuyer, ses doigts, bientôt sa main se perdent en moi. Il me possède, je suis sienne et il le sait.
Oh comme j’aime ca
Comme j’aime être comme ça
Toute offerte
Ouverte
Prête …
Je suis
Prête
Je vais venir
Là
Quand soudain il se recule… 60, 59, 58, 57…
Le salop.
35, 34, 33, 32, 31
La minute la plus longue depuis longtemps…
26, 25, 24,
La frustration est la pire des punitions.
15, 14, 13 – Claire je veux voir comment tu fais.
Vite il te reste 12 secondes, 11, 10
Et voici mon corps comme en pilote automatique, mes mains qui connaissent si bien le chemin de mes jouissances mouillées, je voudrais me donner toute entière, notre chemin sera beau, je veux qu’il sache de quoi je suis capable. Je veux tout retraverser avec lui. Tout, lorsque ma jouissance arrive sa main s’enfonce en moi et cette rencontre éclabousse tout. Il lèche le fruit de mon extase sur mes jambes et profite de ressentir mon antre se resserrer sur lui jusqu’à l’expulser.
- Je suis fier de toi Claire… Mais toi et moi n’en avons pas fini. Dans la chambre maintenant.
J’obéis, que puis je faire d’autre…
Voilà l’image : je suis nue debout face au lit, il est dans mon dos dans l’encadrement de la porte. Sur le lit il y a mes lettres et la boite souvenirs ouverte , et une mallette ressemblant à celle des cuisiniers pour transporter leurs couteaux… dedans soigneusement rangés, tout un matériel de dilatation , du plus petit et plus mignon rosebud au godemiché à la taille indécente…
Lorsque je me retourne vers lui il est nu, magnifique, c’est comme ci cet homme là, ce maître, je ne l’avais jamais vu auparavant.
Son sexe magnifique et bandé d’ailleurs tel un arc me fait ployer le genou immédiatement et ouvrir la bouche telle une bonne chienne réclamant à manger.
- Lève toi Claire, je ne suis pas si prévisible. Et bien que j’ai très envie de baiser ta bouche , j’ai d’autres projets pour nous ce soir.
- Tu, euh , vous aurez besoin de ce matériel ?
- Certainement.
Je saisis le plus petit d’entre eux, là nous sommes partis pour la nuit, il va tous les tester, un part un, dans toutes les positions. Je connais bien cet exercice. Tout tester pour me faire jouir par derrière .
L’image est à présent celle ci : dos à lui les jambes pleinement écartés et les fesses tendues, j’insère délicatement le bijoux dans mon cul.
Lui en face s’assoit dans le fauteuil et sirote un vieux whisky, il n’interviendra que lorsque je serai dans la diffiCULté, me connaissant on en a pour un moment avant l’entracte.
- Et de Un , dit il en avalant une gorgée.
Joue Aurore/Claire… joue pour moi « bébé »…
… TO BE CONTINUED. (bientôt la suite)
Récit de Olga Ivanov – Natachaneurysm
Crédits photo : OS – prises au club lors de la soirée du 27 janvier.