Lecture et vidéo érotique – Lylie #LaChrysachezVous

La lecture que nous vous proposons ce soir est un extrait d’un livre érotique « Lylie », dont vous trouverez une interview de l’auteur ici. L’équipe du blog profite de ce live pour remercier vivement Lucas de Saint Jean pour sa gentillesse et son accord pour vous offrir ce sulfureux récit…

Lylie, femme adultère et complice de son mari candauliste, entretient une relation sexuelle particulière avec un riche homme d’affaires qui se nomme Pierre-Henri Berlin. Homme de pouvoir, il va venir contrarier l’harmonie de leur couple en leur proposant un contrat immoral pour la réalisation de son fantasme le plus extravagant.

La scène qui vous est proposée se situe dans un cercle privé parisien, dans une ancienne maison close du 19 ème siècle, totalement clandestine tenue par quelques adeptes pervers.

Le pitch…

Place au récit…

Il m’a désignée pute à bordel, je vais lui en donner pour son argent. Mais pas pour lui, je vais m’offrir aux autres, j’entame alors ma parade aguicheuse, je suis une putain de séductrice. Je vais ensorceler, corrompre tous ces mâles dominants, je dois le battre sur son terrain, son aire de jeux. Au sommet de mon excitation, et grisée par l’alcool, je suis en mode parade et m’installe dans le fauteuil le plus exposé de la pièce centrale. J’observe de ballet des couples qui se forment, la formule duo ne semble pas la règle. Un homme bedonnant, tenu en laisse, se fait traîner jusqu’au donjon par une belle ébène en cuir et latex

Son fouet charcle l’air violemment, je n’ose imaginer le bruit et l’impact sur ses fesses charnues. Les lumières enflamment l’ambiance, de feu et de sang, ce rouge me transcende, m’excite au plus haut point. La circulation autour de moi s’intensifie, je dois faire l’objet de questionnements, la vision de ma solitude doit les étonner. Les regards sont de plus en plus appuyés à chaque passage, hommes et filles m’observent indiscrètement. C’est le moment, j’ai envie de ça, de m’exhiber et m’afficher. Je suis un tableau vivant, pervers et lubrique. J’étire mon string pour exposer mon sexe. Mes doigts manucurés commencent un fin massage autour de mon intimité, roulant délicatement sur mon piercing de luxe et sur mes grandes lèvres à chaque passage. Un homme commence à s’approcher et s’assied sur la banquette en face.

La cinquantaine débutante, coupe déstructurée poivre et sel, il est d’une classe et d’un charme incroyable. Il me dévisage et écarte les jambes pour laisser voir apparaître une franche érection qui boudine son fendard. En mode voyeur, son regard est uniquement pointé vers le siège de son intérêt, mes doigts sur ma chatte. J’adore m’exhiber, je suis encore enivrée, et me laisse totalement aller à ce plaisir onanique qui fait le bonheur de mon spectateur principal. Il est maintenant rejoint par un duo de jolies brunes au teint et à l’allure hispaniques. Debout, leur posture est équivoque, elles se tiennent comme un couple, l’enlacement est charnel. Le cercle des mateurs s’agrandit et désormais, deux hommes ont rallié l’assistance. Sans le savoir, PH me donne l’occasion de réaliser de nouveau un de mes fantasmes, et je pense à Fred qui aurait adoré me voir dans cette situation. Je devine le regard des curieux, mais je reste concentrée sur l’acteur principal, toujours située dans l’axe médian de son esprit et de mon anatomie. Deux doigts ont naturellement glissé dans les profondeurs de mon abysse, je les retire et les renfonce dans un rythme métronomique. Je ne quitte pas l’homme du regard, il ne le croise pas et reste figé sur mes doigts habiles. Je passe mon autre main dans mon dos et dégrafe adroitement mon soutien-gorge, puis je fais glisser ma culotte pour me débarrasser du dernier bout de fibre. Je me veux totalement nue, extrêmement impudique et outrageuse.

Lylie accompagnera vos fantasmes pendant longtemps…

Ma main dégouline, je n’ai qu’à pousser un peu pour la faire disparaître complètement. Je maîtrise parfaitement ce mode de pénétration, je sais me fister mais je laisse encore l’assistance en suspens. L’homme se lève enfin, et par un hochement de tête je l’encourage et le rassure sur ses intentions. Il peut venir. Le comportement est un peu autistique, il ne me regarde toujours pas et vient se glisser devant mon vagin. Je suis en feu, férocement assoiffée de bouches, de langues, de doigts et de sexes. Sa position est assez claire, il maîtrise sa soumission, je le devine à sa manière de se mettre à genoux. Je le chope alors par l’arrière du crâne et l’entraîne vers mon con trempé, et le badigeonne de ma mouille. Ce face sitting le fait gémir, et de temps à autre je retire sa gueule pour l’exposer publiquement. Son visage est inondé, brillant, il en ressort à chaque fois haletant comme s’il allait se noyer. L’auditoire grandit encore, je ne distingue plus le nombre, je suis la meneuse de revue. Je le redresse enfin et dégrafe son pantalon pour le faire glisser et faire apparaître sa queue énorme. J’en ai rarement vu d’aussi larges à part chez quelques blacks que j’ai connu précédemment.

Je prends mon temps, et me fais la démonstratrice de son anatomie. Je la présente au public, l’expose en le décapotant et en sortant ses couilles. Elle brille du petit produit déjà développé, j’ai soif, j’ai faim, j’ai envie de goûter. J’actionne alors quelques va-et-vient avec mes deux mains, minimum requis pour lui offrir un branlage conforme à la dimension de l’engin. J’approche ma face devant cette bielle arrogante, et je sens sa faine à plein nez. L’odeur est envoûtante, racée, presque légèrement ambrée. Je ne résiste pas longtemps, et après avoir lapé la hampe de bas en haut, je colle ma langue et mes lèvres contre son gland. J’avais mésestimé la largeur de ma bouche, l’exercice m’oblige à un étirement de mes muscles constricteurs. Mais je suis gloutonne, les deux moules s’adaptent très rapidement, et je lui offre, comme au public présent, une fellation généreuse et gourmande. Mes petits gémissements étouffés trahissent mon excitation et le plaisir buccal que je prends. Je n’exagère pas, je ne fais pas de zèle, les regards de l’auditoire m’exaltent et m’encouragent. L’homme commence à souffrir de cet engouement, le foutre lui caresse l’encolure, il ne veut pas cracher. Il me relève alors, et me fait basculer à genoux sur le fauteuil. Le déchirement est violent, ma bouche s’était parfaitement accommodée et ma salive en réclamait encore. Je l’entends s’équiper d’un préservatif et commence à sentir son pieu caresser et se frotter contre mes fesses.

Simultanément, les spectateurs se sont rapprochés, je perçois un rétrécissement du cercle. Maintenant, il me pilonne lentement, puis accélère pour un rythme très vigoureux. Le cul en bombe, les genoux fléchis et les bras tendus, je cherche l’équilibre devant l’offensive et la puissance des coups de boutoir. Je souffle, geins, gémis et râle quand je sens sur mon visage le frottement d’une nouvelle queue. C’est ce qu’il manquait à mon plaisir absolu. Alors sans regarder son propriétaire, je la saisis en bouche, sans la toucher de mes mains qui cherchent encore la stabilité. D’avant en arrière, je suis alors balancée, le second me baisant la bouche avec autant d’avidité que le premier. Je sais que j’offre un spectacle follement excitant, je rêverais de voir le même. Désormais, ce sont des mains qui commencent à me tripoter. Mes seins lourds et pendants du fait de la position, sont maintenant caressés par de jolies mains douces et féminines. Je découvre un enchevêtrement de doigts et de couleurs, du rose et du blanc nacré qui parcourent mes globes et mes mamelons, deux filles se sont invitées au tableau. Tamponnée de la poupe à la proue, compressée des deux côtés, au centre des regards et des désirs, j’incarne la déesse du plaisir, de la débauche et du sexe.

La lecture idéale pour confiné(e)s de tout bord…

Désordre et confusion règnent sur cette scène, qui est qui, qui baise avec qui, seule certitude, je suis au cœur du labyrinthe humain et j’exulte. Peu à peu, la mêlée éclate et les uns et les autres se dégagent du plan central. J’ai besoin de respirer. À genoux, nue et transpirante, je veux offrir le Saint Graal du tableau final et saisis les queues de mes deux partenaires que je branle et suce simultanément. Natasza apparaît de nouveau et se poste devant moi. Je ne veux rien partager avec elle, et alors que je m’active à licher mes offrandes, elle s’installe à genoux et commence à me doigter frénétiquement, sans s’inquiéter de mon assentiment. Elle sait y faire cette garce. Sourcière émérite, elle m’astique énergiquement et me fait gicler en deux-deux. La fontaine est active, le geyser puissant, à la hauteur de l’orgasme que je lâche impudiquement, violemment, pendant que mes deux amants déversent leur foutre sur mon visage déformé par les spasmes.